Résidence surveillée

Cinéma - Fiction / 35mm couleur scope - 1986 - 1h36

« Un récit original sur le goût du pouvoir et de la grandeur. » (Pariscope)

Guillaume Fontaine a réalisé avec la Résidence des Orchidées un modèle d’architecture et d’harmonie urbaine, dont il est particulièrement fier. Mais vols et agressions s’y multiplient. Les locataires s’inquiètent. Un jeune homme prévenant, Jacky, met en fuite une bande de voyous. De plus en plus apprécié par le voisinage, Jacky finit par obtenir le poste de vigile et entreprend aussitôt de truffer la résidence de micros et de caméras. Guillaume proteste en vain contre le pouvoir exorbitant dont Jacky commence à faire un usage tout personnel…

 

CINÉMA – FICTION
Année : 1986
Durée : Une heure trente six minutes
Support : 35mm couleur scope (panavision)

Distribution
Jacques Bonnaffé (Jacky), Maria Schneider (Céline Fontaine), François Siener (Guillaume Fontaine), Eva Ionesco, Myriam Mézieres, Jacques Nolot,Patrick Bonnel, Jacques Bellefroid, Catherine Carrel, Christine Datnowsky, François Delahaye, Germaine Delbat, Paulette Frantz, Olivier Hémon, Marie-Christine Hervy, Philippe Lacoste, Michel Mederic, Eloïse Mignot, Thierry Ravel, Marie-Hélène Viau, Jean-Louis Vitrac, Valerie Blanchet, François Decaux, Françoise Decaux, Thierry Defroicourt, Pierrick Hordet, Nathalie Mann, Fabien Orcier, Albert Pigot, Jeronimo Saer, Valérie Saint-Aubin, Hugo Santiago, Marc-Henri Wajnberg.

Un film de Frédéric Compain
Sujet original : Armand Bernardi et Frédéric Compain
Scénario et dialogues : Hugo Santiago et Frédéric Compain

Montage : Alberto Yaccelini
Image : Dominique Le Rigoleur
Décor : Jean-Denis Compain
Costumes : Eve-Marie Arnault
Mixage : Jean-Paul Loublier

Musique originale : Jacques Davidovici
Enregistrée et mixée au studio I.C.P à Bruxelles par Phil Delire
La chanson « Come down on me » est interprétée par Bamy

Assistant réalisateur : Luc Leclerc du Sablon
Seconde assistante : Marie-Jeanne Pascal
Script : Caroline Chatriot
Régisseurs : Karine Karsenty, Thierry Guillemard, Françoise Bayeux
1er assistant opérateur : François Paumard
2ème assistant opérateur : Stéphane Cami
Chef électricien : Claude Hirch
Électriciens : Loïc Jouan, Luis Perralta, Patrick Jan
Chef machiniste : Gauderic Delcasso
Machinistes : Daniel Patrie, Jacques Parmentier
Ensemblier : Philippe Ghirardi
Stagiaire décoration : Christophe Pujol
Constructeurs : Philippe Gé’stir, Emmanuel Maintigneux, Vincent-Pierre Novel
Habilleuse : Pia Micha
Chef maquilleuse : Michele Tassi
Maquilleuses : Ghilaine Zay,Brigitte Massalve
Coiffeur : Patrick Bruyere

Assistantes monteuses : Camille Laurenti, Isabelle Lefebvre
Montage son : Nelly Meunier, Suzanne koch
Ingénieur du son : Jean-Pierre Fénié
Enregistrement doublage : Alix Comte
Perchmans : Guy Maillet, Pierre Davoust
Bruitage : Jean-Pierre Lelong
Assistant : Martin Melchiorri
Enregistrement : Jean Duguet
Rythmo : Jacques Charrier
Mixage : Jean-Paul Loublier

Photographe : Alejandra Lutteral
Effets spéciaux : Établissement des Frères
Cascadeur : Michel Carliez
Maître chien : Michel Flaesch
Trucages : Olivier Gillon – Exposure
Attachés de presse : Eugène et Marlène Moineau
Laboratoire : Eclair
Pellicule : Agfa-Pyral
Alga Samuelson
Filmé en Panavision

Une co-production Image Concept – L.P.A – Cinémage – Ministère de la Culture
Producteur délégué : Yves Delahaye
Collaborateurs de production : Jean-Pierre Biret, Marc Olivaud
Directeur de production : Bernard Lorain

Administratrice de production : Martine Durand
Secrétaire de production : Elisabeth Espiard
Stagiaires de production : Alain Bomme, Marc Henry

Production : Image-Concept / Canal + /
Produit par Yves Delahaye

Tournage : Janvier/Fevrier/Mars 1986 à Saint Cloud

Sortie 12 salles Paris fin Août 87

Diffusion Canal +
Droits acquis par T.C. productions (groupe Katz)

« Frédéric Compain ne s’est pas borné à faire une oeuvre dénonciatrice. Son film, réalisé dans un cinémascope qui donne à la moindre cage d’escalier un climat majestueux et théâtral, fourmille de morceaux de bravoure… Jacques Bonnaffé confirme qu’il est l’un des plus grands de sa génération. »
TÉLÉRAMA – Joshka Schidlow

« Bonnaffé crispant. Affligé d’une mise en scène arrogante. Pour la sortie, prenez l’ascenseur, ça ira plus vite. »
PREMIÈRE – J.P Chaillet

« De superbes mouvements de caméra. »
TÉLÉRAMA – B. Génin

« Bonnaffé dans sa défroque de brute reptilienne porte à lui seul le film. Compain analyse avec justesse le phénomène de la peur. Un film très intéressant. »
LA REVUE DU CINÉMA – R. Bassan

« Résidence surveillée » se déroule dans un climat hivernal et crépusculaire qui témoigne d’un sens assez vif de la cohérence des images. Mais Compain est mieux inspiré au moment de déplacer sa caméra qu’à celui de diriger ses acteurs. »
LE MATIN – M. Perez

« Confirmation de trois comédiens exceptionnels dont Maria Schneider, belle et convaincante dans un rôle inhabituel. »
MARIE CLAIRE

« François Siener : la révélation du film. « Résidence surveillée » à voir absolument pour son originalité et son intelligence. »
LIBERTÉ DIMANCHE

« Bonnaffé exprime toute une gamme d’émotions subtiles à double tranchant. Aucune banalité dans la mise en scène. Un vrai film noir, très réussi. »
STARFIX – Hélène Merrick

« La mise en scène part dans tous les sens. Saluons pourtant les mouvements de caméra et l’ambiance inquiétante. Frédéric Compain a laissé faire à Bonnaffé son numéro de psychopathe. On préfère François Siener, mystérieux. »
LE MONDE – J. Siclier

« Un sujet fort, original. Habile pour créer des ambiances inquiétantes, Frédéric Compain filme son immeuble comme un labyrinthe clos où rode le mal. Bonnaffé se replace avec ce film dans le peloton de tête des jeunes acteurs français. »
7 À PARIS

« Un film noir, très habilement construit. »
TÉLÉ-STAR

« L’interprétation de la bombe Bonnaffé, la découverte de Patrick Bonnel, l’admirable photo de Dominique Lerigoleur, l’excellente musique de Jacques Davidovicci… »
BIBA – Anne Andreu

« Jadis auteur du remarquable « Journal de Patagonie », Frédéric Compain ici s’est planté ! »
LE CANARD ENCHAÎNÉ

« La déception est d’autant plus grande que Frédéric Compain est un réalisateur sérieux et respecté. Que s’est-il passé ? »
POSITIF

 

EnregistrerEnregistrer