J’étais à Toulouse

Documentaire / 1993 - 58 min

Rapports de pouvoirs dans une grande ville française, en 1993.

À la mémoire de Joelle Eisenberg

 

DOCUMENTAIRE
Année : 1993
Durée : Cinquante huit minutes

Dans la collection  » La clef des villes « 

Avec Dominique Baudis, Jacques Lacassagne, Walter Spanghero, Christian Bîmes, , Claude Sicre, Madame Evelyne-Jean Baylet, Eric Dupont…

Scénario : Frédéric Compain

Préparation de l’enquète : Christophe La Rocca

Montage : Alberto Yaccelini

Image : Jean Blankaert, Frédéric Compain

Son : Alain Duprat

Mixage : Jean-Marc Dussardier

Éclairage : Roland Bataille

Texte dit par Frédéric Compain

Mixage : Jean-Marc Dussardier

Assistant réalisateur : Christophe La Rocca

Conformation : Alain Bonnet

Direction de production : Gérard Frereau, Marylin Phelipot

Production exécutive France 3 : Unité Grand Sud-Ouest

Chargée de production France 3 : Dominique Voegeli

Producteur délégué : Image et Compagnie, Serge Moati, Thierry Forsans

Producteur exécutif : Image et Compagnie

Responsable artistique : Olivier Glaas

Chargée de production : Mathilde Muffang

Une coproduction Image et Compagnie, France 3 -Unité de Programme France 3 Documentaires et Magazines

Remerciements particuliers à Eric Dupont ainsi qu’à Joe Lafuste, Philippe Ruggieri, Galerie Meurice, Ursula Alizard, André Mauriès, Michel Villeneuve, Daniel Casalonga, Mauries.

Et Madeleine Sultan.

Tournage : Avril 1993

© 1993-France 3 – Image et Compagnie

« Une étude de mœurs sans concession. Frédéric Compain montre l’invisible, dit l’indicible, fait toucher du doigt l’impalpable et pesante atmosphère des « sphères du pouvoir. Aucun secret fracassant sur les frasques du pouvoir dans la ville rose, car l’intêret est de suggérer ce que chacun peut sentir mais que personne n’ose vraiment dire. Ni écrire, montrer, exposer. Une fabuleuse image du député-maire-ancien présentateur-TV (Dominique Baudis) restera dans les mémoires : spectateur anxieux de sa future défaite, son fameux regard azur est remplacé par l’étrange reflet des écrans bleutés dans ses lunettes. Le plan est d’une fixité et d’une intensité inouïe. Inquiétante. »
SATIRICON – Roger Giclette

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